… désolé, mais le phénomène fait appel à deux formalismes différents, et pas franchement compatibles. [Ça n'est pas incompatible, mais plutôt indépendant].
► l'émission d'un quantum d'énergie lumineuse appelé photon, relève de la mécanique quantique, d'où l'appellation de quantum.
► parti de là, à un quantum est associée une particule, d'abord hypothétique, puis expérimentalement confirmée.
Rapelons que Einstein, qui ne croyait pas franchement à la mécanique quantique [c'est rien de le dire ‼] a eu son prix Nobel de physique non pas pour la relativité, mais pour l'interprétation de l'effet photoélectrique ‼‼
► La corrélation particule-onde relève de la "physique ondulatoire" qui découle de la mécanique quantique et des observations, initialement relatives à la lumière. C'est là qu'on établit la correspondance entre le quantum n'énergie W de saut entre une orbitale de l'électron et une orbitale d'énergie inférieure, et la fréquence f de la lumière émise : W = h.f, h étant une constante universelle appelée "constante de Planck".
► la formulation du trièdre direct {E↑, B↑, k↑} est héritée des relations de dérivations rotationnelles entre E↑ et B↑, qui sont exprimées par les équations de Maxwell, ce qui a priori, n'a rien à voir, quoique …
Dans le vide :
∇↑ ∧ B↑ = μ○.ε○.∂E↑/∂t
[le rotationnel d'un vecteur est normal à ce vecteur]
∇↑ ∧ E↑ = - ∂B↑/∂t
ce qui permet d'aboutir à l'équation de propagation de l'onde plane monochromatique à l'aide de la relation mathématique
∇↑ ∧ ∇↑ = ∇↑.∇↑. - Δ
« le rotationnel du rotationnel est égal au gradient de la divergence moins le laplacien »
→ E↑ = E○↑[cos(ω.t - k↑.r↑)]
→ B↑ = B○↑[cos(ω.t - k↑.r↑)]
→ B↑ ┴ E↑ ; k↑ ┴ E↑ ; B↑ ┴ k↑ ; {E↑; B↑; k↑} direct
→ k = 2π/λ ; λ = c/f ; ω = 2πf ; c = √(μ○.ε○)
Le vecteur d'onde k↑, comme le vecteur de Poynting R↑ représentant la propagation de l'énergie, est orienté selon le rayon, dans le sens de propagation.
Si tu veux tous les détails, ça prends tout de même des pavés de feuilles de cours et de TD, Dédé …